Nos politiques environnementales reflètent trois vecteurs d’action : minimiser notre impact, réduire notre consommation d’énergies non renouvelables et rendre toutes nos activités plus écoénergétiques. Notre approche est intégrée à tous les aspects du processus minier, de l’étape de l’exploration jusqu’au démantèlement, et nous surveillons continuellement notre performance sur tous nos sites miniers.
Nos équipes de SSEC sur les sites comprennent des professionnels de l’environnement qui assurent la conformité avec la règlementation environnementale locale et la gestion des risques et des opportunités, en respect des meilleures pratiques et en collaboration avec les autres départements; elles surveillent et préparent des rapports faisant état des principaux indicateurs environnementaux couvrant une grande variété de questions environnementales, incluant la biodiversité, les changements climatiques, la quantité et la qualité de l’eau.
Les professionnels de l’environnement des sites sont soutenus par les directeurs de SSEC des bureaux régionaux et du siège social qui les aident en fournissant des conseils, des stratégies et de la surveillance aux équipes affectées à l’environnement et plus largement à la SSEC. Les directeurs reçoivent également des mises à jour régulières sur les principaux indicateurs de performance, les risques et les plans d’action de la part du personnel des sites. La haute direction, le chef de la direction et le conseil d’administration reçoivent aussi des rapports réguliers sur les risques et les indicateurs de performance environnementaux.
Pour en savoir plus sur la façon dont nous assurons l’imputabilité en matière d’environnement à tous les niveaux de l’organisation, consultez la page Gouvernance en matière de SSEC.
Pour en savoir plus sur les liens que nous avons établis entre l’environnement et la rémunération, veuillez consulter la page Notre approche.
La stratégie environnementale de Yamana est d’abord et avant tout axée sur la gestion des impacts et des risques sur le terrain et sur la réduction de notre empreinte chaque fois que cela est possible. Nos sites miniers s’assurent d’être conformes à toutes les exigences légales applicables, certifiés par rapport à la norme ISO 14001 et d’avoir intégré l’évolution des meilleures pratiques internationales dans leurs pratiques opérationnelles grâce à l’application du cadre de gestion intégrée en matière de SSEC de Yamana, et plus récemment des meilleures pratiques de l’industrie énoncées dans les Principes permettant une exploitation minière aurifère responsable (PEMAR) du World Gold Council et les Protocoles de l’initiative Vers le développement minier durable (VDMD) de l’Association minière du Canada. Au cours des années à venir, notre stratégie visera surtout à intégrer l’évolution des meilleures pratiques internationales découlant de l’initiative VDMD et des PEMAR, tout en identifiant les enjeux importants à l’égard desquels nous pouvons prendre une position de chef de file, comme l’eau et les changements climatiques.
Les KPI environnementaux visent à mesurer et à améliorer la performance opérationnelle, à améliorer la communication interne des principaux enjeux environnementaux et à établir des objectifs internes pour maintenir la conformité environnementale. Les KPI abordent le bruit, la poussière, la qualité et la disponibilité de l’eau, la gestion des résidus miniers et les activités de remise en état. Ces indicateurs sont réévalués chaque année pour s’assurer qu’ils demeurent pertinents et que les cibles internes reflètent les données recueillies et les progrès réalisés au cours de l’année précédente.
Les indicateurs varient d’un site à l’autre et aident à gérer les risques juridiques, règlementaires, communautaires et opérationnels. La performance à la lumière de ces indicateurs est communiquée aux équipes des sites et à la haute direction, au conseil d’administration et aux équipes de SSEC des bureaux régionaux et du siège social. Ce processus accorde une visibilité accrue et un meilleur suivi des indicateurs afin d’assurer l’imputabilité des dirigeants des sites et de la haute direction et veiller à ce qu’ils fassent l’objet d’une planification adéquate. De plus, ces risques contribuent à l’élaboration des plans d’amélioration en matière de SSEC et à l’établissement de budgets adéquats en matière de gestion de l’environnement.
L’eau est une ressource partagée et nous nous engageons à gérer de façon responsable cette ressource communautaire essentielle. Les variations dans la disponibilité ou l’accès à des sources d’eau fiables constituent un risque important pour Yamana et l’industrie en général, car il s’agit d’une composante essentielle du processus minier. Les risques liés à l’eau sont gérés au cas par cas sur chaque site, avec une surveillance étroite de la part du siège social et un accent constant sur la réutilisation et le recyclage de l’eau et sur la prévention des rejets d’eau de procédé dans l’environnement.
L’objectif de notre stratégie en matière d’eau est d’assurer l’efficacité opérationnelle de la gestion de l’eau, ce qui signifie de minimiser les impacts sur les ressources en eau locales, tant en termes de quantité que de qualité. Le contexte lié à l’eau sur chacun de nos sites est unique, et les risques et les défis en la matière sont propres à chaque site et nécessitent des stratégies faites sur mesure pour la gestion de l’eau.
Tous les sites miniers cherchent à minimiser leur utilisation d’eau douce en réduisant la consommation totale et en maximisant l’utilisation d’eau recyclée, afin de minimiser l’impact sur la nappe phréatique locale. De plus, nous évitons de rejeter des eaux de procédé dans l’environnement naturel. Dans l’ensemble, notre stratégie de gestion de l’eau comprend quatre composantes clés : l’efficacité, la qualité, l’adaptation et la préparation aux changements climatiques, et le dialogue avec les parties prenantes.
Maximiser l’efficacité et réduire la consommation d’eau brute.
Minimiser les effets sur la santé humaine et aquatique.
Identifier et comprendre nos vulnérabilités.
Communiquer avec les communautés d’accueil et les parties prenantes au sujet des principaux enjeux à chaque étape de nos activités.
Notre mine Jacobina prélève son eau d’un réservoir artificiel d’eau douce le long de la rivière Cuia et ne génère aucun rejet, puisque l’eau est entièrement recyclée après traitement. La communauté de Jacobina, située en aval, est le seul autre consommateur d’eau. L’eau n’est pas considérée comme une ressource particulièrement rare dans la région. Le bilan hydrique du site de Jacobina est utilisé pour améliorer continuellement la performance au niveau de l’eau, notamment par une réduction significative de la consommation globale d’eau douce.
La mine connaît une saison des pluies de novembre à avril et une saison sèche de mai à octobre. Les canaux de dérivation existants, les infrastructures de gestion des eaux pluviales (fossés et bassins) et le parc à résidus ont tous une capacité suffisante pour gérer les précipitations extrêmes. Aucune inondation des infrastructures du site ou déversement non contrôlé ne s’est produit lors de tempêtes. L’eau de pluie est captée et accumulée dans des bassins de gestion des eaux pluviales ou dans les installations et les infrastructures du parc à résidus.
Pénurie d’eau à court terme pendant la saison sèche ou lors de sécheresses.
La qualité à long terme de l’eau sur le site pourrait éventuellement affecter la qualité des eaux souterraines et de surface en aval si elle n’est pas gérée adéquatement.
Des changements dans la disponibilité de l’eau en aval en raison des activités minières si ces dernières ne sont pas gérées adéquatement.
Infiltration d’eau souterraine dans les mines souterraines.
Accumulation d’eau sur le site (p. ex., dans les bassins d’entreposage ou dans le parc à résidus) dans des conditions climatiques normales à humides.
Préoccupations des communautés au sujet des effets potentiels sur la qualité de l’eau ou la disponibilité de l’eau.
Notre site El Peñón s’approvisionne en eau dans un aquifère souterrain d’eau salée qui est utilisé exclusivement par Yamana et qui n’est relié à aucun autre aquifère dans la région. L’eau est recyclée des résidus pour une réutilisation dans les procédés et le site ne rejette pas d’eau. La région environnante n’est pas considérée comme déficitaire en eau en raison de la faible consommation d’eau, et l’aquifère d’eau souterraine est réapprovisionné à un rythme suffisant pour soutenir les opérations actuelles.
El Peñón est situé dans le désert d’Atacama, qui est considéré comme le désert le plus sec au monde, et il n’est pas rare que dans certaines régions du désert d’Atacama, plusieurs années s’écoulent sans précipitation. Les événements de pluies extrêmes sont rares et historiquement, le ruissellement des eaux de surface n’a jamais affecté notre site minier.
Pérennité du système d’approvisionnement en eau en raison des faibles taux de recharge des aquifères d’eau souterraine.
Minera Florida prélève des eaux de surface au nord des collines environnantes de Cantillana et est actuellement un site sans rejet. Bien que la région en général soit considérée comme étant déficitaire en eau, du moins en ce qui a trait à la disponibilité de l’eau, l’approvisionnement en eau n’est pas considéré comme un risque en raison de la faible consommation d’eau de la mine. Les communautés environnantes utilisent des puits d’eau souterraine comme source d’eau potable, tandis que les eaux de surface sont utilisées localement pour l’agriculture.
La mine connaît des étés secs, mais des précipitations importantes sous forme de pluies intenses pendant l’hiver. Ces événements de précipitations extrêmes n’occasionnent pas d’inondation des infrastructures de l’usine de traitement. Les canaux de dérivation, les infrastructures de gestion des eaux pluviales (fossés et bassins) et le parc à résidus du site ont tous une capacité suffisante pour gérer les précipitations extrêmes.
Cerro Moro est située à environ 30 km à l’ouest de la côte de l’océan Atlantique. Les eaux souterraines sont extraites et traitées avant d’être utilisées dans l’usine de traitement et sont ensuite recyclées, ce qui ne génère aucun rejet. Le site maintient un bilan hydrique détaillé qui tient compte de tous les aspects de la mine et des volumes de précipitations et qui relève d’une équipe spécialisée sur place.
La mine se trouve dans une région généralement considérée comme semi-aride, mais pas particulièrement déficitaire en eau puisqu’elle reçoit d’importants épisodes de précipitations pendant les mois d’hiver. Des canaux de dérivation et des infrastructures de gestion des eaux pluviales (fossés et bassins) sont utilisés pour gérer les précipitations, et le parc à résidus est conçu avec une capacité suffisante pour accommoder les épisodes de précipitations extrêmes.
Pérennité du système d’approvisionnement en eau en raison des faibles taux de recharge de l’aquifère d’eau souterraine.
Un élément essentiel de notre programme de gestion de l’environnement consiste à réduire et à gérer les risques par la ségrégation des déchets dans les installations sources et à mettre l’accent sur la réduction, la réutilisation et le recyclage des déchets. Lorsque les déchets ne peuvent être recyclés ou réutilisés, le transport et l’élimination des déchets sont effectués par des entrepreneurs agréés, conformément à la législation locale et aux permis applicables.
Notre approche en matière de gestion des déchets minéraux vise à assurer la stabilité des pentes des empilements de roches stériles et à confirmer que la qualité des eaux souterraines et de surface sur nos sites miniers n’affectera pas les utilisateurs en aval, en mettant l’accent sur la surveillance et l’atténuation des concentrations de sulfates, le lessivage des métaux et le drainage rocheux acide.
Yamana accorde une attention particulière à la gestion des résidus miniers en raison de son importance et de sa complexité; les résidus miniers font donc l’objet d’un système de gestion distinct, lequel est décrit en détail à la page Gestion des résidus miniers.
Les changements climatiques sont l’un des enjeux les plus importants de notre époque et nous reconnaissons que les entreprises ont un rôle crucial à jouer pour relever ce défi. En 2020, nous avons amorcé un processus de renouvellement de notre Stratégie sur les changements climatiques, en mettant l’accent sur la réduction des émissions et l’établissement de cibles basées sur la science pour nous aider à y parvenir. Bien que les changements climatiques soient un enjeu mondial, ils représentent également un risque très tangible pour nos sites miniers et nos communautés d’accueil; à ce titre, d’importants efforts ont été déployés pour évaluer et surveiller ces risques afin de réduire la probabilité d’impacts sur les communautés et sur nos activités.
Notre stratégie s’articule autour de deux principaux piliers : le premier porte sur la gestion de l’énergie et des émissions, tandis que le deuxième porte sur les mesures d’atténuation, l’adaptation et la préparation. La deuxième moitié de cette stratégie est en place depuis des années et découle de notre processus d’évaluation des risques liés aux changements climatiques, à l’eau et à la biodiversité, lequel est abordé plus en détail ci-dessous. Le volet énergie et émissions de notre Stratégie sur les changements climatiques a été approuvé au début de 2021; nos efforts en 2021 créeront des bases solides pour faciliter la mise en place de voies opérationnelles de réduction des émissions et d’objectifs quantitatifs à court, moyen et long terme en 2022, en vue d’atteindre un objectif global de carboneutralité nette d’ici 2050. Bien que, depuis quelques années déjà, nos sites miniers se fixent des objectifs énergétiques annuels, nous reconnaissons l’importance de prendre des engagements à l’échelle de l’organisation et de fixer des cibles solides basées sur la science.
Notre stratégie comprend les éléments suivants :
Gérer l’efficacité énergétique et la réduction des émissions.
Identifier et comprendre nos vulnérabilités afin de prévenir les impacts sur nos opérations.
Élaborer des plans de préparation et d’intervention en cas d’urgence pour les répercussions possibles sur nos activités.
Des évaluations des risques liés aux changements climatiques ont été effectuées à chacun de nos sites miniers afin de :
Les risques et les opportunités suivants ont été identifiés comme étant les plus importants pour Yamana lors d’évaluations exhaustives des risques liés aux changements climatiques :
Les plans d'action pour cet indicateur sont de haut niveau.
Feux de forêt régionaux et locaux qui perturbent l'accès aux sites ou entraînent des interruptions des opérations.
Changements règlementaires qui ont un impact sur les coûts d'exploitation
Gestion des eaux sur nos sites durant les conditions météorologiques extrêmes (tempêtes avec fortes précipitations et saisons sèches ou sécheresses) afin d'atténuer le risque d'inondations et les dommages aux infrastructures et aux routes de transport, et prévenir les impacts sur les communautés d'accueil.
Changements des coûts énergétiques en raison de la tarification du carbone, de la règlementation plus stricte entourant la consommation d'énergie et les émissions de gaz à effet de serre, ou des exigences en matière de production d'énergie renouvelable.
Poussières générées sur les sites, particulièrement les parcs à résidus, durant les saisons sèches et les sécheresses.
Puisque face aux changements climatiques, la gestion de l’eau est l’un de nos risques les plus importants et les plus complexes, une évaluation distincte des risques liés à l’eau a également été effectuée. Les résultats de cette évaluation des risques sont examinés plus en détail à la section Eau de notre page Environnement..
Prioriser la biodiversité signifie que nous visons constamment à minimiser les impacts sur l’environnement local de nos sites et aux alentours, tout en contribuant positivement à la santé écologique à long terme.
La conservation et la gestion de la biodiversité sont une priorité pour Yamana, et cela commence en s’assurant de colliger des informations adéquates sur l’écologie du milieu d’accueil, sur nos impacts et en utilisant l’échelle hiérarchique des mesures d’atténuation pour atténuer et gérer adéquatement ces impacts.
En se basant sur la collecte continue de données et les résultats des évaluations de biodiversité, chaque site élabore et maintient son propre plan de gestion de la biodiversité, qui respecte à la fois la législation locale et l’approche globale de Yamana en matière de gestion et de conservation de la biodiversité. Ces stratégies comprennent, sans s’y limiter, la remise en état progressive, la protection et la restauration d’espèces végétales endémiques, la conservation des zones sensibles et les mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité.
Aucune de nos mines en exploitation n’est située dans l’une des aires protégées internationalement reconnues suivantes : les aires protégées des catégories I à IV de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), les sites naturels du patrimoine mondial de l’UNESCO, les réserves de biosphère du Programme sur l’homme et la biosphère de l’UNESCO, et les zones humides désignées en vertu de la Convention relative aux zones humides d’importance internationale (la Convention de Ramsar).
Les évaluations des risques liés à la biodiversité effectuées à chacun de nos sites miniers examinent comment, où et quand nous recueillons des données sur la biodiversité afin d’assurer une gestion efficace. Voici un résumé de haut niveau des principales conclusions :
La fermeture est une étape inévitable du cycle de vie de nos sites miniers. Chez Yamana, nous croyons qu’il est de notre devoir d’assurer la fermeture, la surveillance et la gestion de nos sites fermés de façon responsable. Nous accordons également beaucoup d’importance au maintien d’une relation solide avec les communautés d’accueil et les parties prenantes de chaque site tout au long, pendant et après le processus de fermeture.
L’approche de Yamana en matière de fermeture est axée sur la planification proactive, le respect de nos engagements de fermeture et, à tout le moins, le retour des sites à une condition acceptable tant pour le gouvernement que pour les intervenants locaux. Nous abordons la fermeture au moyen de divers mécanismes, les plans de fermeture étant un élément clé pour tous les sites d’exploitation.
Tous les sites actifs, indépendamment de l’état d’avancement du cycle de vie de la mine, maintiennent des plans de fermeture et de remise en état à jour, et allouent des fonds pour couvrir les coûts de fermeture bien avant la fermeture de la mine. Les plans de fermeture sont révisés et mis à jour régulièrement pour s’assurer qu’ils reflètent adéquatement l’évolution de l’empreinte minière ainsi que les cadres règlementaire et économique de leur juridiction.
En plus de maintenir des plans de fermeture, nos sites participent à des activités de remise en état progressive dès que possible. Cette façon de faire génère ultimement moins d’impacts sur l’environnement et assure un retour plus rapide de l’écosystème naturel une fois que la mine n’est plus en exploitation.
Enfin, nous nous efforçons d’assurer une fermeture sociale adéquate avec les communautés d’accueil entourant nos sites. Ultimement, la stratégie consiste à investir dans les communautés locales tout au long de la vie de la mine d’une manière qui favorise la résilience et la pérennité économiques, sociales et culturelles. Cela permet de s’assurer que nos communautés d’accueil sont non seulement équipées pour faire la transition lors de la fermeture de nos mines, mais qu’elles pourront aussi prospérer dans un contexte post-minier.
Lorsque nous atteignons la fin de vie d’une mine, nous mettons davantage d’efforts sur le dialogue actif et la communication transparente pour préparer les membres de la communauté aux dernières étapes du cycle de vie de la mine.
Les risques les plus importants associés aux sites fermés sont généralement liés à la gestion des roches stériles et des résidus miniers, à la gestion de l’eau, aux défis sociaux et à l’évolution des exigences en matière de permis, ces derniers étant atténués grâce à divers processus, incluant une surveillance régulière de la qualité de l’eau locale et de l’eau rejetée dans l’environnement. La surveillance aide à l’élaboration de stratégies de gestion pour tous les risques déterminables. L’utilisation de recouvrements techniques pour les roches stériles sulfurées et le minerai traité par lixiviation en tas sur notre site Beartrack est un exemple de notre approche proactive en matière de gestion des risques. Cette stratégie de contrôle à la source minimise passivement les impacts sur la qualité de l’eau à long terme, minimisant ainsi les exigences à long terme en matière de traitement de l’eau, qui peuvent quelquefois s’avérer complexes.
Sur les sites en exploitation, les risques liés à la fermeture sont gérés en révisant et en mettant à jour régulièrement nos plans de fermeture tout en restaurant simultanément les zones perturbées lorsque c’est possible. Ces stratégies nous permettent d’aborder de façon dynamique les exigences de fermeture et de nous assurer que les stratégies à long terme sont bien adaptées aux conditions actuelles du site minier.